Les enfants ne sont pas les seuls à craindre les aiguilles, les adultes aussi. Une fois devenu adulte et parent, une autre phobie s’installe chez le citoyen : vacciner ou pas mon enfant ?
Ce procès a relancé le débat sur la pertinence de la vaccination et des adjuvants incriminés.
Seuls 3 vaccins sont obligatoires et inclus dans le DTP
Les vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite sont les seuls en France qui restent obligatoires. Le refus ou l’entrave à la vaccination sont passibles de 6 mois d’emprisonnement et de 3 750 euros d’amende, selon le Code de la santé publique.
Les opposants à la vaccination utilisent peu ou prou le même argument : l’aluminium utilisé comme adjuvant – un moyen de renforcer l’action du vaccin – serait dangereux et source de troubles musculaires et cognitifs. La vaccination consiste à introduire une forme inactive du microbe dans l’organisme. En réaction, le corps produit des défenses immunitaires, les anticorps. Ainsi, lorsque le vrai microbe – actif – rentre dans le corps, il est reconnu et les anticorps préalablement développés par le vaccin l’éliminent. La maladie n’a pas le temps de se développer en raison de la réponse immédiate de l’organisme préparée par le vaccin. Les adjuvants sont utilisés pour renforcer ce mécanisme.
Le risque zéro n’existe pas
Le Pr. Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations du Haut Conseil de Santé Publique (HCSP), admet certes que « le risque zéro n’existe pas en médecine » et « estime que les données scientifiques disponibles à ce jour ne permettent pas de remettre en cause la sécurité des vaccins contenant de l’aluminium, au regard de leur balance bénéfices/risques. »
L’important reste la mesure de cette balance, laquelle reste favorable à la vaccination. Car s’il y a bien eu des cas de personnes qui, après vaccination, ont ressenti les douleurs musculaires persistantes incriminées, cela ne permet pas d’en tirer une relation de cause à effet.
Les travaux du Pr. Romain Gherardi, directeur du Centre expert en maladies neuromusculaires à l’hôpital Henri-Mondor (Créteil) qui a pointé le premier les risques de l’utilisation d’adjuvants à l’aluminium, en 1998, dans la revue The Lancet, ne suffisent pas à établir ce lien de causalité. « On connaît le risque de réaction locale au niveau de l’injection mais l’hypothèse selon laquelle cette anomalie s’étendrait à tous les muscles n’a jamais été scientifiquement prouvée », expliquait en août 2013 le Pr. Jean Beytout, chef du service des maladies infectieuses au CHU de Clermont-Ferrand et membre du Comité technique des vaccinations. Reste la question du caractère obligatoire réservé aux vaccins contre le tétanos, la poliomyélite et la diphtérie, qui vaut aux parents d’être poursuivis pour maltraitance. Un statut particulier dont n’a bénéficié aucun autre vaccin depuis 1964… Depuis cette date, les vaccins sont au mieux « recommandés ». Une situation qui peut semer la confusion dans les esprits selon le Pr. Daniel Floret : « Dès lors que les autres vaccinations ne sont que recommandées, on pense qu’elles sont moins importantes, moins utiles ou moins efficaces alors que certaines sont très importantes : contre la rougeole bien sûr, mais aussi la coqueluche, l’hépatite B, le HPV… Recommandé ne doit pas être vécu comme facultatif. »
Un paradoxe dont les autorités sanitaires françaises semblent avoir bien conscience puisque la volonté de « redéfinir les notions de vaccination recommandée et obligatoire » est bien inscrite au « programme national d’amélioration de la politique vaccinale 2012-2017 » de la Direction générale de la santé. À ce jour pourtant, rien n’a changé.
Certains professionnels de la santé remettent en question les campagnes de vaccination massives comme celle qui a produit la crise H1N1 de 2009, mais aussi l’ensemble des vaccins. Le British Medical Journal a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie, une maladie grave et incurable, chez les enfants.
Comprenez qu’un médecin qui refuse de vacciner prend quelques risques avec son Ordre, et compromet gravement ses revenus. C’est une source de profit non négligeable selon certains. En France, en 2015, 800 000 nouveau-nés ont vu le jour. Au cours des sept premières années de sa vie, un enfant « rapporte » au moins 500 euros, selon un médecin.
Seuls trois vaccins sont obligatoires en France. L’imposition de tout autre vaccin est illégale, dans tous les cas de figure, et même punie par la loi, sauf dans certaines professions (médicale et militaire), ce qui est hautement discriminatoire et contestable.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les médecins n’arrivent pas à trouver la cause de beaucoup de maladies ? C’est parce qu’ils sont conditionnés à ignorer le lien existant entre les vaccins et diverses pathologies. Les maladies suivantes sont celles pour lesquelles il existe une association avec les vaccins, qui est documentée dans la littérature médicale :
– Allergies et eczéma
– Arthrite
– Asthme
– Autisme
– Reflux acide du jeune enfant nécessitant le recours aux inhibiteurs de la pompe à protons, des médicaments qui ont beaucoup d’effets secondaires
– Cancer
– Diabète juvénile
– Maladies rénales
– Fausses couches
– Longue liste de maladies neurologiques et auto-immunes
– Syndrome de la mort subite du Nourrisson (MSN)
– Et beaucoup, beaucoup plus
Certains effets secondaires des vaccins sont documentés dans la littérature médicale et/ou dans les notices des fabricants :
– Arthrite, troubles sanguins, thromboses, attaques cardiaques, septicémie
– Infections des oreilles
– Évanouissements (avec rapports de fractures consécutives)
– Insuffisance rénale nécessitant une dialyse
– Convulsions/épilepsie
– Réactions allergiques sévères, comme l’urticaire ou l’anaphylaxie
– Mort subite
– Beaucoup de diagnostics habituellement donnés comme motifs d’hospitalisation
– Le programme national d’indemnisation des accidents post-vaccinaux (NVCIP) a octroyé plus d’1,2 milliard de dollars ($) d’indemnisation aux victimes, enfants comme adultes.
L’autisme est associé aux vaccins
L’autisme était rare avant les programmes de vaccination de masse qui ont été amplifiés en 1991, avec l’introduction des vaccins contre l’hépatite B et l’Hib (méningite). Des dizaines de milliers de parents peuvent attester que leurs enfants sont devenus autistes vraiment peu de temps après avoir reçu ces vaccins ou d’autres. Ce sujet est très controversé, cependant, de ombreux journaux avaient relayé la décision rendue par un tribunal italien le 23 septembre 2014, lequel a accordé des dommages et intérêts à un garçon chez lequel la campagne de vaccination a provoqué l’autisme (décision du tribunal). Le vaccin concernait la prévention de 6 maladies infantiles, mais le garçon a commencé à développer des symptômes d’autisme après les injections qui ont eu lieu pendant sa première année.
L’enfant avait reçu 3 doses du vaccin Infarix Hexa qui a été fabriqué par GlaxoSmithKline, et qui lui ont été administrées de mars à octobre 2006. Le vaccin protège contre la polio, la diphtérie, le tétanos, l’hépatite B, la coqueluche et l’Haemophilus influenzae. Toutefois, il contenait aussi du Thimerosal, un composé à base de mercure, d’aluminium et d’autres ingrédients toxiques. Ce sont ces ingrédients qui ont développé l’autisme chez l’enfant.
Le procès a duré des semaines, mais le témoignage d’un expert médical a permis à la Cour de déterminer que l’enfant avait développé son autisme à cause de la neurotoxicité du mercure et de l’aluminium. La Cour a également noté que le vaccin contenait du Thimerosal qui est désormais interdit en Italie à cause de sa neurotoxicité. Cette substance était présente dans le vaccin à des doses trop élevés pour un enfant pesant seulement quelques kilos.
Le juge s’est également appuyé sur un document de 1271 pages qui a été fourni par GlaxoSmithKline. Ce document montre clairement que les tests du vaccin avaient provoqué 5 cas d’autisme avérés chez les patients. Trop souvent, aucune enquête n’est faite sur le sujet sauf pour dire qu’il s’agit de coïncidences fortuites.
Ce qu’il faut savoir :
– Les vaccins ne procurent pas d’immunité à vie, ce qui signifie que des rappels sont recommandés.
– Chaque injection de rappel accroît le risque d’effets secondaires.
– Les effets secondaires des vaccins peuvent vous rendre malade pour le restant de votre vie. Et, fort opportunément, il existe beaucoup de médicaments pour traiter les effets secondaires provoqués par les vaccins.
Les vaccins sont la clé de voûte du système médical. Sans vaccins, les coûts des soins de santé diminueraient parce qu’au final, nous aurions une société plus saine dans son ensemble. Nous avons échangé la varicelle contre l’autisme, la grippe contre l’asthme, des infections ORL pour le diabète,… et la liste pourrait encore continuer.
En voulant frénétiquement éradiquer des microbes relativement bénins, nous avons troqué des maladies temporaires contre des maladies chroniques, lourdes, insidieuses, des désordres, des dysfonctions, des inaptitudes et autres incapacités.
Une étude financée par Generation Rescue, appelée l’ « étude Cal-Oregon » a questionné les parents d’enfants vaccinés contre ceux d’enfants non vaccinés. Sur les 17.674 enfants inclus dans cette étude, les résultats ont montré :
Les enfants vaccinés avaient 120 % plus d’asthme.
Les garçons vaccinés avaient 317 % plus de troubles de déficit d’attention avec hyperactivité (TDAH)
Les garçons vaccinés avaient 185 % plus de désordres neurologiques
Les garçons vaccinés avaient 146 % plus d’autisme.
Les filles représentent seulement 20 % du nombre total d’enfants repris dans cette étude.
NON merci !
Beaucoup de gens choisissent la santé et la sécurité en disant non aux vaccins. Les enfants naissent avec de puissantes défenses naturelles. Si cela n’était pas le cas, ils mourraient tous peu après leur naissance. D’énormes cascades de réactions immunitaires complexes commencent dès les premiers cris de la naissance. Ces processus ont besoin de se dérouler naturellement, sans être interrompus par l’injection de substances toxiques.
La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue, ce n’est pas quelque chose qui s’injecte.
Prenez conscience que les principales clés de la santé sont une bonne alimentation, une eau pure, un sommeil adéquat, de l’exercice et de la joie de vivre. Apprenez aussi des informations basiques sur les vitamines, en particulier, l’information vraiment cruciale au sujet de la vitamine D3. Apprenez comment utiliser les plantes essentielles et les bases de l’homéopathie pour entretenir sa santé et gérer les troubles mineurs.
Les vaccins qui fâchent
Les injections contre la diphtérie, le tétanos et la polio sont généralement réalisées en même temps. Jusqu’en 2008, un vaccin trivalent (« DTP ») existait sur le marché français, mais il n’est plus commercialisé, sur décision de l’ancienne Afssaps (devenue Agence nationale de sécurité du médicament). Le DTP est désormais combiné à d’autres souches vaccinales qui protègent contre d’autres maladies. On parle alors de vaccin :
- tétravalent (contre quatre maladies), s’il inclut les trois précédentes et la coqueluche (Tétravac de Sanofi, Infanrix-Tetra de GSK) ;
- pentavalent (contre cinq maladies), qui protège en plus de l’haemophilus influenzae de type B (Pentavax, InfanrixQuinta) ;
- hexavalent (contre six maladies), qui associe également l’hépatite B (Infanrix Hexa).
C’est désormais le vaccin hexavalent qui est officiellement recommandé en France. Mais pour les enfants plus âgés ou les adultes, qui n’ont reçu que des vaccins tétravalents ou pentavalents, des rattrapages sont possibles uniquement pour la maladie manquante.
D’autres maladies peuvent également être évitées par des vaccins recommandés pour tous les enfants :
- la rougeole, les oreillons et la rubéole: le vaccin trivalent « ROR » contre ces trois infections virales très contagieuses se fait en deux injections, à 12 mois et entre 16 et 18 mois. (Priorix, M-M-RVaxPro) ;
- la tuberculose : le « BCG » a longtemps été obligatoire à l’entrée en collectivité. Ce n’est plus le cas depuis 2007.
Ce vaccin reste toutefois fortement recommandé pour les enfants nés dans des pays à forte endémie de tuberculose ou résidant en Guyane et à Mayotte, mais aussi en Île-de-France, en raison de la concentration de populations venant de pays où la tuberculose est encore très présente (Afrique, Asie) ;
Les infections à pneumocoque : deux injections à 2, 4 et 11 mois (Péninvact, Ménomune) ;
Les infections à méningocoque de type C : une injection à 12 mois, rattrapage jusqu’à 24 ans (Prevenar).
Je vaccine, je ne vaccine pas ?
Cela veut-il dire qu’il faille arrêter de vacciner tous les enfants ?
Non. Car même si on a exagéré les bienfaits des vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux cas où il est raisonnable de vacciner.
Le problème est que l’absence d’études sérieuses sur les risques et bénéfices réels des vaccins obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni les professionnels de santé de bonne volonté ne disposent aujourd’hui d’éléments fiables pour prendre des décisions éclairées.
Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à risque », et d’autres qui le sont moins. Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est dans la plupart des cas, nocif.
De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications. Cela n’est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en présenter, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes, ou ayant d’autres problèmes liés à leur système immunitaire. Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n’est pas prévu par le système.
Un mois pour donner votre avis
Pour faire face à cette crise de confiance, les Français vont pouvoir s’exprimer sur la vaccination et faire des propositions pour faire évoluer la politique vaccinale en France sur une plateforme accessible sur Internet jusqu’au 13 octobre, dans le cadre de la « concertation citoyenne » organisée sur ce sujet par le gouvernement.
L’opinion du grand public sera recueillie jusqu’au 13 octobre sur un espace participatif accessible à l’adresse contrib.concertation-vaccination.fr.
Chaque citoyen est invité à exprimer son opinion, à titre individuel ou collectif. Parmi les contributions souhaitées, le comité mentionne des questions ou des avis sur la vaccination, des recommandations pour « améliorer la confiance dans la vaccination » et des recommandations pour « améliorer la couverture vaccinale ».
« La concertation citoyenne a pour objectif de mieux comprendre les inquiétudes, peurs et critiques qui subsistent à l’égard de la vaccination, afin d’apporter les réponses adéquates », a indiqué le Pr Alain Fischer, qui copréside le comité d’orientation de cette « concertation » annoncée en janvier dernier par la ministre de la Santé, Marisol Touraine.
Cela suffira-t-il ? Qui croire quand les intérêts financiers sont au centre du sujet et non la santé ?
Les réelles interrogations sur la question de la vaccination changent du tout au tout selon les journaux et leur influence ; Pluton Magazine, lui, pose le problème : à chacun de trouver la bonne solution.
Rédacteur Georges COCKS
Secrétariat rédaction: Colette FOURNIER
Pluton-Magazine