« BIEN-AIMÉ » AU DÉBUT DE SON RÈGNE ; PUIS SOUVERAIN « MAL-AIMÉ », LOUIS XV RESPONSABLE DE TOUS LES MAUX DU ROYAUME

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Par Philippe Estrade Auteur-conférencier

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Ce fut un règne en demi-teinte et même plutôt catastrophique sur le théâtre géopolitique. Celui qui suscita d’immenses espoirs auprès du peuple, notamment à l’issue du long règne autoritaire et absolu de son arrière-grand-père Louis XIV et qui fut appelé le « Bien-Aimé », devint très vite un souverain détesté en raison de sa vie plutôt débauchée dans un Versailles coupé du monde et des réalités quotidiennes, de l’influence de ses maîtresses mais aussi des guerres perdues. Pour la première fois, un conflit qualifié de mondial n’opposa pas seulement les Européens sur le vieux continent mais aussi hors d’Europe, dans les colonies. Ce fut la guerre de Sept Ans, de 1756 à 1763, qui marqua le début de l’hégémonie britannique en même temps qu’un terrible coup d’arrêt des ambitions françaises et de son empire colonial.

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UNE RÉGENCE DE REDRESSEMENT

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Louis XV n’avait que cinq ans quand il succéda à son arrière-grand-père Louis XIV, le 1er septembre 1715. Comme il était trop jeune naturellement pour exercer le pouvoir, ce fut alors Philippe d’Orléans, neveu du roi défunt, qui assura une régence somme toute plutôt flatteuse, jusqu’à sa mort en 1723. Bien que les conséquences de la banqueroute de Law eussent été désastreuses, la régence fut tout de même une période de redressement relatif des comptes du royaume.

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L’efficacité du régent Philippe d’Orléans

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Bien que Louis XIV eût pris des dispositions en ne laissant pas tous les pouvoirs dans les mains du nouveau régent, Philippe d’Orléans sut se saisir d’un certain nombre de prérogatives en cassant le testament qui ne lui offrait qu’une charge honorifique de « président du conseil de régence ». En le reconnaissant comme seul régent de France, le parlement lui offrit des pouvoirs politiques renforcés. Rétablissant une paix désormais durable et osant une politique économique et financière audacieuse, Philippe d’Orléans parvint à séduire les Français. Il indiqua à ses intendants de province, dès 1715, à sa prise de fonction, que sa préoccupation était de réduire le poids excessif de l’impôt en établissant un système moins lourd et plus juste. Grand travailleur, le régent remplaça même un grand nombre de ministres par le recueil de conseils auprès de techniciens et de grands seigneurs, en quelque sorte la société civile d’aujourd’hui. Sa politique religieuse fut tout aussi ambitieuse. En effet, le régent impulsa une politique de réduction de la fracture du clergé de France avec le soutien des cardinaux Rohan et Bissy. La rédaction d’une doctrine de synthèse du point de vue gallican sur la démarche janséniste fut pour lui une grande satisfaction. Avec son humour et son esprit, il dira : « J’ai bridé mes ânes » ».

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La banqueroute de Law

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Très endetté à la mort de Louis XIV, le royaume de France affichait une dette de plus de dix ans de recettes fiscales. Philippe d’Orléans mit en place l’utilisation du papier-monnaie de l’économiste écossais John Law au détriment d’espèces métalliques afin d’impulser les investissements et le commerce. En absorbant même la Compagnie des Indes, la Banque Générale de Law favorisa les spéculations qui aboutirent à la ruine du système et à la banqueroute, dès lors que les porteurs de billets et les actionnaires eurent demandé à récupérer leur or avant l’arrivée des richesses coloniales. La fin de l’action politique de la Régence devint tout de même chaotique et il était temps que le royaume tourne la page de Philippe d’Orléans dont l’efficacité dans le redressement des comptes fut toutefois avérée mais dont l’image de débauché liée aux soupers et soirées voluptueuses organisés au Palais-Royal, avait terni durablement l’image.

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LOUIS XV, LA PERTE D’INFLUENCE DANS LE MONDE

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Le bilan jugé pour certains catastrophique de Louis XV, jugement tout de même très sévère, doit être néanmoins contrasté. Succédant à la mort de Philippe d’Orléans en 1723, le souverain, authentiquement sympathique, s’est plus tard entouré du cardinal Fleury, son incontournable premier Ministre qui restera aux affaires à ses côtés jusqu’à l’âge de 90 ans. Le nouveau souverain marquera ses premières années d’une certaine efficacité sur le plan militaire et montrera plus tard une volonté pacifiste dans les querelles émergentes. Hélas, les conséquences de la guerre de Sept Ans ont été accablantes pour l’empire colonial français et son prestige, bien que l’intégration à la Couronne des duchés de Lorraine et de Bar ainsi que de la Corse eût été réalisée sous le règne de Louis XV.

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Guerre de Sept Ans, la terrible gifle

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Ce conflit qui fut qualifié de première guerre mondiale a opposé de nombreux États européens de 1756 à 1763 en Europe, mais aussi dans les empires coloniaux, aux Indes, en Afrique et en Amérique du Nord. Anglais, Prussiens et Portugais, notamment, s’opposèrent aux Français, aux Espagnols, aux Russes et aux Autrichiens en particulier par l’éternel jeu d’intérêts et d’alliances. Les raisons du conflit s’étaient amoncelées dangereusement, notamment la friction pour le contrôle de la Silésie entre la Prusse et l’Autriche et l’éternelle rivalité franco-anglaise sur l’expansion coloniale. Le particularisme de l’issue de ce conflit, ce fut désormais la recherche du démantèlement des forces territoriales de l’adversaire lors de sa capitulation. Une conception contemporaine des effets de la guerre venait donc de naître. Les théâtres opérationnels ont été nombreux durant cette guerre de Sept Ans, en Europe d’abord, à Prague ou à Rossbach, mais aussi en Afrique, à Gorée et Saint-Louis du Sénégal, au Canada, notamment sur les Plaines d’Abraham dans la ville actuelle de Québec ou encore aux Antilles. Sévèrement battue parfois, la France a perdu gros dans cette affaire. En signant le traité de Paris qui mit un terme au conflit, document signé par Louis XV, Georges III d’Angleterre et Charles III d’Espagne, la France, lourdement punie, dut renoncer à beaucoup de ses possessions coloniales, notamment le Canada, l’Acadie, plusieurs îles des Antilles, les Indes, la Louisiane cédée aux Espagnols à titre de dédommagement de la Floride qui passa, elle, sous le contrôle britannique. Le Royaume-Uni devint alors la nouvelle grande puissance mondiale en supplantant la France alors que la Prusse s’installait à son tour dans le rang des grandes nations désormais incontournables.

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Dupleix, bâtisseur d’empire et gouverneur de Pondichéry

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Ce nom prestigieux a été attaché à la puissance de l’empire colonial français, précisément aux Indes. Sans qu’il oublie d’être un homme d’affaires, sa fortune fut immense. D’abord commissaire des guerres et gouverneur de Chandernagor, un comptoir plus ou moins délaissé du Bengale à deux pas de Kolkata, l’actuelle Calcutta, Dupleix s’allia notamment aux puissants nababs et noua des alliances avec les grands princes locaux. Il parvint à louer les services d’une armée d’autochtones et obtint en échange d’immenses biens territoriaux. Membre supérieur de la Compagnie française des Indes créée par Colbert et fixée à Pondichéry, Joseph François Dupleix a ainsi pu asseoir la domination de la France sur une immense partie de la péninsule indienne constituée alors de principautés rivales ou souvent en conflit, dotées de souverains musulmans ou hindous. Pendant le siège anglais de Pondichéry, en 1748, Dupleix usa ses adversaires qui finalement levèrent leur siège, signant la victoire française. À la fin de 1754, alors que la guerre de Sept Ans embrasait les puissances européennes et les colonies, Louis XV convint avec l’Angleterre d’un accord qui stipulait une neutralisation des activités politiques de leurs compagnies de commerce respectives. Les Français ont tout de même fait preuve de naïveté car en fait, l’anglais Robert Clive reprit à son compte les alliances locales et d’une manière générale la stratégie de pénétration française qui avait fort bien réussi à Dupleix et au royaume de France. La stratégie de Dupleix ne fut pas particulièrement comprise et soutenue avec ardeur par Louis XV. À la signature du traité de Paris, Dupleix dut quitter précipitamment ses entreprises alors que les colonies françaises aux Indes s’effondraient au profit du gouvernement de sa Majesté. La France ne conservera que cinq comptoirs, Mahé, Karikal, Yanaon, Pondichéry et Chandernagor.

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Montcalm, héros malheureux de la Nouvelle France

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La guerre de Sept Ans sera également fatale à Montcalm dans sa défense acharnée de Québec. Montcalm fit ses classes dans les conflits européens, en particulier lors de la guerre de succession d’Autriche où il fut d’ailleurs blessé au siège de Prague. En 1743, cet immense soldat participa à la victorieuse campagne d’Italie et en 1746, il reçut cinq coups de sabre à la bataille de Plaisance, toujours contre les Autrichiens. Les faits d’armes de Montcalm sont remarquables, et au Canada il montrera à nouveau courage et panache, deux caractéristiques de son génie militaire. Ses premières campagnes ont été de grands succès, à fort Chouagen sur la rive sud du lac Ontario et en 1757 à fort William Henri où il parvint à briser les forces anglaises. Deux mille anglais se sont rendus à l’issue de cette bataille et obtinrent l’engagement d’être évacués, dotés d’une promesse commune de ne pas reprendre les armes pour une période fixée à dix-huit mois. Hélas, des troupes amérindiennes surprirent la colonne et massacrèrent environ 200 anglais. Amer, Montcalm refusa avec panache de poursuivre la campagne jusqu’à Fort Édouard, en direction duquel furent évacués les survivants de fort William Henri. Puis, en repoussant un assaut anglais contre fort Carillon en 1758, il obtint une nouvelle victoire contre le général Abercrombie, un adversaire arrogant précise la chronique, mais surtout dont la compétence semblait toutefois douteuse. Devant les difficultés que connut le royaume de France sur d’autres théâtres opérationnels, notamment les raids anglais sur les villes côtières, dont Saint-Malo, et l’arrivée massive de renforts anglais au Canada, ordre fut donné à Montcalm de réduire toute la défense sur le cours inférieur du Saint-Laurent, une forme d’abandon du projet de la Nouvelle-France. Ce grand homme meurt au combat à 47 ans en 1759, tout comme son homologue anglais James Wolf, après qu’il eut soutenu le siège de Québec lors de la bataille des Plaines d’Abraham. La chronique précise qu’à l’agonie, Montcalm aurait murmuré : « Combien de temps me reste-t-il à vivre ? Quelques heures à peine… Tant mieux, je ne verrai pas les anglais à Québec ». Après sa mort, Québec ouvrit ses portes et se rendit, permettant ainsi à l’Angleterre de devenir la nouvelle maîtresse du Canada.

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LOUIS XV AFFAIBLI ET DÉTESTÉ

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Le roi est sorti très diminué du traité de Paris en 1763, qui affaiblissait terriblement les colonies françaises. À l’intérieur, la situation n’était guère plus florissante, et seul l’esprit des Lumières donna un nouveau souffle et un prestige intellectuel français. Le peuple délaissé souffrait et la réputation sulfureuse et justifiée de Louis XV alimenta aussi les colères ici et là, sur fond de siècle des Lumières. Le roi n’aura pas su anticiper les colères grandissantes et les frondes qui s’ouvriront plus tard, sous le règne de Louis XVI, sur la Révolution française.

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La Pompadour, intrigante et influente

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Les châteaux de la Muette et de Choisy étaient des étapes privilégiées pour Louis XV qui aimait y retrouver ses nombreuses maîtresses. La Pompadour tint un statut particulier dans la vie et l’entourage du souverain. Faite marquise de Pompadour, Jeanne Poisson était en fait une roturière qui obtint même un appartement à Versailles. D’ailleurs, les archives précisent qu’elle bénéficia de ce que l’on peut qualifier de « chaise volante », précurseur de l’ascenseur pour rejoindre directement Louis XV dans ses appartements privés. Elle perdit cependant l’écoute du roi, mais soucieuse de jouer un rôle, lui fit tout de même aménager l’hôtel versaillais du Parc-aux-Cerfs afin qu’il retrouve ses nouvelles conquêtes dans un nouveau cadre douillet. Le nom de cet hôtel particulier deviendra vite synonyme de lupanar mais aussi de moqueries. Toujours très influente, elle reçut encore du roi l’hôtel d’Évreux, le futur palais de l’Élysée, et elle bénéficia malgré tout de la protection de certains philosophes des Lumières. Tout comme la comtesse du Barry qui lui succédera, elle fut moquée et critiquée jusqu’à sa mort en 1764.

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Mandrin s’oppose aux fermiers généraux

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Avec la mission de collecter tous les impôts comme l’octroi ou la gabelle, la Ferme générale succède en 1726 aux Cinq Grosses Fermes. Les chroniques relèvent beaucoup d’abus et d’irrégularités commis par les fermiers généraux corrompus qui s’enrichissaient sans vergogne. Ce climat d’injustice et de haine impulsa des systèmes de contrebandiers. Mandrin, le plus célèbre, mena des campagnes à la tête de centaines d’hommes en Bourgogne ou encore en Auvergne, permettant à la population de jouir de biens et de marchandises à des prix accessibles. Il parvint même à tenir l’armée en échec mais fut finalement arrêté et condamné à mort en 1755. Il demeura longtemps un immense personnage populaire pour les pauvres gens et un symbole de la rébellion et de la résistance des plus faibles et des démunis.

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Les impôts d’Étienne de Silhouette.

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Étienne de Silhouette fut le contrôleur général des finances en 1759, date à laquelle il fut renvoyé pour avoir osé s’attaquer au budget de la Cour royale. Soucieux de réformer la fiscalité et de taxer les plus riches, il a immédiatement souhaité instaurer un impôt sur les signes extérieurs de richesse. Bien sûr, la noblesse s’est dressée contre ce projet, conduisant Choiseul à se séparer de son contrôleur des finances qui était aussi un philosophe des Lumières, et dont on se moqua, son nom étant désormais associé à des actions mal conduites ou des projets inachevés. Les dessins imparfaits ou inaccomplis étaient immédiatement qualifiés de croquis « à la Silhouette » et offrirent à la langue française le mot silhouette.  En revanche, son idée sera reprise par le Directoire avec un impôt sur les fenêtres et les portes qui se maintiendra jusqu’en 1926. À noter que cet homme brillant a laissé une œuvre littéraire et de réflexion considérable comme Idée générale du gouvernement et de la morale desC hinois tirée des ouvrages de Confucius, ou encore Mémoires sur la situation des finances et sur les moyens de subvenir aux dépenses de l’État.

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Le secret d’Éon, espion du roi

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Sacré personnage que Charles de Beaumont, chevalier d’Éon, membre plutôt mystérieux du Secret du Roi, un service secret mis en place par le roi Louis XV. C’est en 1810, à l’issue de son décès à Londres où elle vivait retirée et misérablement, qu’une vieille dame octogénaire s’avéra être un homme, à l’issue de l’examen de son corps. Il s’agissait de Charles de Beaumont, ardent membre de la diplomatie parallèle du roi. Alors qu’il se vit confier la conception d’un plan secret relatif à l’invasion de la Grande Bretagne, de Beaumont, allias le chevalier d’Éon, opéra souvent en femme et ne semblait pas s’émouvoir de se travestir régulièrement, au point qu’il finit par susciter des interrogations quant à son genre réel. Bien qu’il vécût régulièrement habillé en femme à la faveur de ses pérégrinations d’espion, il demeura homme une cinquantaine d’années avant de se déclarer précisément femme. Doté d’une rente retirée plus tard par Louis XVI, le chevalier ou la « chevalière » d’Éon s’éteignit donc, bien peu fortuné, à l’écart de tous à Londres.

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Louis XV, l’incorrigible séducteur détesté

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Ce séducteur incorrigible a trop aimé les femmes et collectionné de nombreuses maîtresses. Comme l’a écrit avec sa plume délicieuse Daniel Picouly, « à part les favorites et la porcelaine, Louis XV, ce n’est pas grand-chose (…) il restera de lui « la guerre en dentelles » et la petite vérole dont il est mort ».  J’ajouterai la perte de la quasi-intégralité des territoires coloniaux au profit des Anglais. Le bilan de cet homme n’est en effet guère très flatteur. Ce souverain en fait est un roi intermédiaire entre l’immense Louis XIV et Louis XVI dont les qualités ne furent pas appréciées à leur juste valeur et qui a payé le prix lourd des errements du passé et de l’abandon des misérables. Détesté par le peuple qui a aussi blâmé sa débauche, Louis XV le roi « Bien-Aimé » était devenu le « Mal-Aimé » à tel point que l’on dut l’inhumer à la sauvette et de nuit, afin d’éviter des incidents liés à la haine qu’il avait suscitée. Le convoi funèbre évita Paris pour se rendre rapidement à la basilique Saint-Denis alors qu’à la nouvelle de sa mort, les Parisiens et les Français affamés pour beaucoup et écrasés de taxes laissèrent éclater leur joie.

Bien qu’intelligent, ce souverain ne marquera pas l’histoire comme le firent tous « les autres Louis », en raison de sa personnalité légère de séducteur pathologique, de son abandon du peuple, des querelles religieuses et de son calamiteux bilan issu de la guerre de Sept Ans qui vit la disparition instantanée d’une partie des territoires de l’empire colonial au profit de sa Majesté le roi d’Angleterre. Comme le dit Daniel Picouly, encore lui, avec sa plume féroce mais bourrée d’humour « Louis XV n’a fait que meubler la salle d’attente entre Louis XIV et Louis XVI. À la télévision, Louis XV serait un roi Interlude, le petit train électrique qui tourne en rond entre le magazine « 5 colonnes à la une » et « lecture pour tous ». Jugement sévère, cruel et tellement accablant que l’on aurait presque envie, dans un geste d’empathie, de rechercher quelques circonstances atténuantes à ce souverain finalement pathétique qui susciterait presque de la pitié. Par charité.

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Philippe Estrade

Philippe Estrade Auteur-conférencier

Photos ©Pluton-Magazine, ian kelsall Photo de couverture

Pluton-Magazine/Paris 16eme/2022

Journaliste en début de carrière, Philippe Estrade a vite troqué sa plume pour un ordinateur et une trajectoire dans le privé et le milieu des entreprises où il exerça dans la prestation de service. Directeur Général de longues années, il acheva son parcours dans le milieu de l’handicap et des entreprises adaptées. Ses nombreux engagements à servir le conduisirent tout naturellement à la mairie de La Brède, la ville où naquit Montesquieu aux portes de Bordeaux. Auteur de « 21 Merveilles au 21ème siècle » et de « Un dimanche, une église » il est un fin gourmet du voyage culturel et de l’art architectural conjugués à l’histoire des nations. Les anciennes civilisations et les cultures du monde constituent bien la ligne éditoriale de vie de ce conférencier « pèlerin de la connaissance et de l’ouverture aux autres » comme il se définit lui-même. Ce fin connaisseur des grands monuments issus du poids de l’histoire a posé son sac sur tous les continents

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